L'apprentissage de l'identification des mots dans le manuel Rue des contes
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La part la plus significative du travail proposé repose sur l’identification des mots. Plus précisément sur une approche mixte conjointe fortement marquée « syllabique / global ». Ainsi la connaissance du code exclut la découverte du principe alphabétique (critère 20) et s’appuie sur la combinatoire des graphies (critères 211, 221, 223 et 232) . Ce qui est confirmé par la proportion importante de discrimination visuelle (critères 121 et 123) dans le livre et la faiblesse du travail sur la discrimination auditive.
On notera la proportion forte d’approche globale tant dans le livre que le cahier dans les trois premières périodes de l’année (critères 311, 312 et 315), sur la base d’observations de mots dans des textes. Nous avons codé les mêmes activités en « fixation orthographique » (critères 245 et 246) à partir de la période 4, considérant que les textes sur lesquels les « hypothèses graphiques » reposent sont de plus en plus décodables, du fait de l’étude syllabique conjointe. Mais c’est un cloisonnement théorique et artificiel, les types d’activités et de stratégies de lecture restent les mêmes. Par exemple, certaines graphies sont systématiquement « observées » avant d’être étudiées, et la plupart des « je relis », « je lis et je comprends », etc. reposent sur une approche essentiellement globale et des mots appris par c½ur, non décodables.
On notera la proportion forte d’approche globale tant dans le livre que le cahier dans les trois premières périodes de l’année (critères 311, 312 et 315), sur la base d’observations de mots dans des textes. Nous avons codé les mêmes activités en « fixation orthographique » (critères 245 et 246) à partir de la période 4, considérant que les textes sur lesquels les « hypothèses graphiques » reposent sont de plus en plus décodables, du fait de l’étude syllabique conjointe. Mais c’est un cloisonnement théorique et artificiel, les types d’activités et de stratégies de lecture restent les mêmes. Par exemple, certaines graphies sont systématiquement « observées » avant d’être étudiées, et la plupart des « je relis », « je lis et je comprends », etc. reposent sur une approche essentiellement globale et des mots appris par c½ur, non décodables.
Last modified
2007-11-19 16:25
