Un point saillant : le travail dans les livres et les cahiers
On note un déséquilibre livre / cahier : la plupart des activités ont été conçues pour être présentées au groupe classe et non pour s’ancrer dans une pratique différenciée permettant à chaque élève d’avancer en tâtonnant. Les exercices dans les cahiers sont souvent centrés sur une seule activité, par exemple de discrimination visuelle. Dans le livre, les activités sont plus souvent multiples : un travail engage ainsi plusieurs éléments de l’apprentissage.
La prévalence du travail dans le livre est confirmée pour pratiquement tous les types d’activités, même si elle est particulièrement visible en ce qui concerne l’étude du code (qui est donc plus « appris » que « pratiqué »). La reconnaissance globale est aussi bien visible et devient fixation orthographique (sous le même principal intitulé d’activité « je retiens ») vers la fin de l’année, les mots devenant par ailleurs décodables.
Last modified
2007-04-27 09:59