Mise en images
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La structuration de l’image est identique du début à la fin de l’album, y compris pour la couverture : l’arbre étale sa ramure sombre sur les deux tiers de droite, un quart de la hauteur est consacré au sol, les trois quarts restants au ciel. Cette définition stricte et immuable d’un espace met en valeur les changements internes liés au temps.
Les dessins, très stylisés ont cependant une rigueur toute scientifique qui permet une identification des divers éléments : sa ramure, puis ses fleurs, ses feuilles et ses fruits permettent de reconnaître l’arbre comme étant un chêne. Feuilles, fleurs et graines permettront d’identifier le liseron, l’avoine et le pissenlit.
Le code des couleurs pour chaque saison reprend les codes culturels connus : blanc et noir pour l’hiver, vert tendre puis de plus en plus soutenu pour le passage printemps été, marron pur l’automne. L’opposition vue extérieure, vue en coupe joue sur le positif /négatif de l’image : l’arbre noir devient blanc dans la représentation en coupe, la neige blanche est traduite en noir, ce qui ne manquera pas de poser un problème d’interprétation aux jeunes lecteurs.
Les dessins, très stylisés ont cependant une rigueur toute scientifique qui permet une identification des divers éléments : sa ramure, puis ses fleurs, ses feuilles et ses fruits permettent de reconnaître l’arbre comme étant un chêne. Feuilles, fleurs et graines permettront d’identifier le liseron, l’avoine et le pissenlit.
Le code des couleurs pour chaque saison reprend les codes culturels connus : blanc et noir pour l’hiver, vert tendre puis de plus en plus soutenu pour le passage printemps été, marron pur l’automne. L’opposition vue extérieure, vue en coupe joue sur le positif /négatif de l’image : l’arbre noir devient blanc dans la représentation en coupe, la neige blanche est traduite en noir, ce qui ne manquera pas de poser un problème d’interprétation aux jeunes lecteurs.
Last modified
2005-09-19 14:16
